Sacrée gageure, sacrée mission culturelle que de programmer un festival. Un évènement qui joue le tout pour le tout en quelques jours, quelques semaines au maximum, privilégie l’accumulation, le trop plein, cherche l’épuisement, provoque la frustration et les rencontres (parfois contre toute attente). L’enthousiasme des programmateurs (et programmatrices) qui, d’un bout à l’autre du pays, oeuvrent dans l’ombre donne à chacune de ces manifestations une identité propre, une singularité, une âme. Continuer à lire